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OGM

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OGM : Le débat controversé du siècle, pollué par les parties intéressées.

Avant de se lancer dans le débat alimentaire du siècle, je tiens à préciser que je ne prends pas de position personnelle sur le sujet. Je ne pense pas que le débat sur cette utilisation tombe facilement ni du côté pour ou contre comme le feraient les supporters ou les opposants.

Il y a une certaine pollution autour de l’OGM, cette pollution est médiatique, politique et économique en mesure à peu près égale.

Les gens dans les camps du « pour » sont souvent motivés économiquement : par exemple une tomate génétiquement modifiée va pouvoir pousser dans les conditions difficiles. Du coup, ce distributeur pourra vendre plus de produit. Mais cet argument va dans l’autre sens, imaginons qu’un producteur dans un pays a besoin de l’accès à ces graines, et que sans cette modification il serait impossible de pousser dans son environnement… Le même exemple mais deux enjeux différents.

Résoudre insuffisance nutritionnel mondiale.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »2/3″][vc_column_text]Une des problématiques dans ce débat est que nous avons plus ou moins tous été introduits à l’utilisation des OGM via le cas d’un grand groupe qui commence par M et qui finit par onsanto…. Grace à ces braves gens qui ont déposé un brevetage sur une simple séquence de gènes. Ce brevet empêche la réutilisation des graines de semence et par la suite oblige les producteurs à racheter les produits chaque année.  Je ne veux pas rentrer dans le détail de comment cette séquence s’est retrouvée dans les plantes, il y a déjà beaucoup de documents à ce sujet.  Mais il est suffisants d’indiquer que ce n’est pas un moyen très éthique non plus.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »427″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Du coup, arrêter l’insuffisance nutritionnelle dans le monde, ce n’est pas pour demain.  Un autre problème qu’on rencontre c’est le data pur. Terje Traavic, biologiste moléculaire de l’Institut d’écologie génétique, affirme qu’ « un des risques majeurs est que 95% des scientifiques travaillent pour l’industrie et que 5% seulement sont vraiment indépendants ». Donc est-il possible d’avoir des résultats fiables, et bien dans l’immédiat ça va être difficile.  Il y a eu des études indépendantes, mais pour la plupart elles ont été étouffé par les études de lobby beaucoup mieux financé.

Point de vue santé.

Du point de vu santé, là aussi c’est difficile de déterminer. Des milliers de gens consomment déjà des OGM dans leur aliments sans le savoir depuis plus de 20 ans.  Entre ce manque d’indicatif et le manque de ressource scientifique, ça reste encore très flou. Le souci est surtout éthique, nous parlons aujourd’hui de pollution génétique dans nos aliments (et les animaux) et la ligne de traçabilité à ce sujet reste aussi floue.

OGM, bon ou mauvais?

Pour conclure, je pense que l’OGM est une technologie qui aurait pu être mise à l’œuvre pour des choses utiles (si on revient à mon premier exemple de la super tomate) mais quelque part ce sens-là a été détourné par les industrialistes pour être rentabilisé (et en plus le rendement n’est pas aussi super qu’on le croit, je vous laisse rechercher ça par vous-même). Le problème ici, ce n’est pas le quoi mais le qui. Comme le boom de vente de panneaux photovoltaïques dans les année 2000, les distributeurs été plus intéressés par leurs marges de profit que le rendement écologique que les produits étaient censés accomplir.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]


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